Or l’ombre est en règle générale quelque chose d’inférieur, de primitif, d’inadapté et de malencontreux, mais non d’absolument mauvais. Elle contient même certaines qualités enfantines ou primitives qui pourraient dans une certaine mesure raviver et embellir l’existence humaine ; seulement on se heurte à des règles établies. […] L’ « ombre », prise au sens le plus profond, est l’invisible queue de saurien que l’homme traîne encore derrière lui.